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Le japon est une terre où il fait bon s’expatrier pour donner un coup de fouet à sa carrière. Culturellement en revanche, la société n’est pas des plus ouvertes aux étrangers, ce qui favorise les chocs culturels plutôt rudes. Dans ce contexte, consulter un psychologue français pour expatrié au Japon aide à relever le challenge.

S’expatrier au Japon : l’impossible défi ?

L’économie japonaise est florissante et cherche à attirer les expats français. De nombreux candidats à la mobilité internationale ont donc tendance à favoriser cette destination, notamment lorsqu’une proposition émane d’une grande multinationale, nombreuses sur le sol nippon. L’expatriation vers le Japon est donc tentante, mais à quel prix ? La société japonaise se caractérise par un fort décalage culturel avec l’Occident. Une fois le stade de la  « Lune de miel » avec le pays d’accueil passée, le choc culturel peut être brutal et contraindre à trouver rapidement un soutien continu, comme celui d’un psychologue français pour expatrié au Japon. Globalement, les valeurs, les codes et les symboles des cultures françaises et nippones différent trop pour que les échanges soient faciles. Il en résulte beaucoup d’incompréhension et de frustration au départ pour un expat français. Selon les individus, admettre que l’on sera toujours l’étranger dans un pays qui refuse toujours d’assimiler complètement ce qui vient d’ailleurs, peut prendre un tour problématique. La société japonaise demande aussi un effort accru dans chaque geste de tous les jours, car ses bases semblent très exotiques aux français expatriés : hiérarchie omniprésente dans tous les échanges, prédominance du collectif sur l’individu, modestie et censure de l’expression personnelle, politesse extrême, ponctualité… Beaucoup de différences qui peuvent générer un véritable mal-être et nécessiter de consulter un psychologue français pour expatrié au Japon avant de réussir à s’adapter.

Le japon est une terre où il fait bon s’expatrier pour donner un coup de fouet à sa carrière. Culturellement en revanche, la société n’est pas des plus ouvertes aux étrangers, ce qui favorise les chocs culturels plutôt rudes. Dans ce contexte, consulter un psychologue français pour expatrié au Japon aide à relever le challenge.    S’expatrier au Japon : l’impossible défi ?   L’économie japonaise est florissante et cherche à attirer les expats français. De nombreux candidats à la mobilité internationale ont donc tendance à favoriser cette destination, notamment lorsqu’une proposition émane d’une grande multinationale, nombreuses sur le sol nippon. L’expatriation vers le Japon est donc tentante, mais à quel prix ?	 La société japonaise se caractérise par un fort décalage culturel avec l’Occident. Une fois le stade de la  « Lune de miel » avec le pays d’accueil passée, le choc culturel peut être brutal et contraindre à trouver rapidement un soutien continu, comme celui d’un psychologue français pour expatrié au Japon.   Globalement, les valeurs, les codes et les symboles des cultures françaises et nippones différent trop pour que les échanges soient faciles. Il en résulte beaucoup d’incompréhension et de frustration au départ pour un expat français. Selon les individus, admettre que l’on sera toujours l’étranger dans un pays qui refuse toujours d’assimiler complètement ce qui vient d’ailleurs, peut prendre un tour problématique. La société japonaise demande aussi un effort accru dans chaque geste de tous les jours, car ses bases semblent très exotiques aux français expatriés : hiérarchie omniprésente dans tous les échanges, prédominance du collectif sur l’individu, modestie et censure de l’expression personnelle, politesse extrême, ponctualité… Beaucoup de différences qui peuvent générer un véritable mal-être et nécessiter de consulter un psychologue français pour expatrié au Japon avant de réussir à s’adapter.  Les difficultés d’intégration  Les Français de l’étranger installés au Japon sont nombreux, principalement dans les grandes villes comme Tokyo, Kobe ou Kyoto, mais l’adaptation reste l’une des plus difficiles. Les Français expatriés doivent s’attendre à affronter une culture de travail déroutante. Quant aux femmes expatriées, leur sentiment de solitude et d’isolement est souvent renforcé par le mutisme de la société d’accueil. Le monde du travail La vie professionnelle est primordiale pour les individus au Japon. Elle exige un dévouement complet et un sacrifice constant envers leur entreprise. Ainsi, les japonais travaillent en moyenne 50 heures par semaine, cultivent le présentéisme sur leur lieu de travail, et ne prennent que de très rares congés. Les journées sont suivies par des réunions entre collègues auxquelles il est difficile de se dérober. S’y soustraire équivaut, en effet, à manquer de loyauté envers la collectivité. L’épuisement professionnel et le burn out guettent souvent l’individu au Japon, et à plus forte raison l’expatrié. Un motif de consultation courant qui pousse souvent à trouver un psychologue français pour expatrié au Japon.   L’inconfort des épouses	 Ce mode de vie axé sur l’obéissance à la société et le culte du travail accentue l’absence des époux expatriés auprès de leur conjointe le soir. La femme qui s’est expatriée pour suivre son conjoint se trouve donc dans un isolement accru au Japon. De plus, la société nippone, très axée sur la famille, estime encore que la place de la femme est au foyer. Difficile donc, pour les épouses expatriées, de trouver du travail, à plus forte raison lorsqu’elles ne parlent pas japonais. Les femmes ont aussi du mal à se faire de nouveaux amis, car là encore, la barrière de la langue et des mentalités est importante. Le sentiment d’étrangeté vis-à-vis des occidentaux entretient longtemps une impression de rejet. Elle peut être difficile à vivre, notamment lorsque ce sont sur les enfants, à l’école, que ce regard pèse. Toutes ces raisons expliquent le choc culturel parfois violent pour les femmes au Pays du Soleil-Levant, et qui nécessite pour elles, bien souvent, l’écoute d’un psychologue français pour expatrié au Japon.   Pourquoi un psychologue français pour expatrié au Japon ?   Pour trouver le suivi psychologique dont ils ont besoin pour soutenir leurs efforts d’adaptation, les Français peuvent bénéficier d’une assurance santé et trouver des praticiens. Il leur faut ménager leurs ressources, dans un contexte où le déracinement très fort est susceptible de générer parfois un rapatriement.  Malheureusement, le soutien psychologique proposé répond rarement à leurs attentes.    La pratique de la psychologie au Japon est aussi définie par la culture et la philosophie ancestrale. On y pratique beaucoup « la thérapie de Morita », qui se base sur la prise de conscience des états internes. Cette approche fait appel à l’acceptation des choses, à la réceptivité et à l’adaptation aux circonstances extérieures. Elle implique une prise en charge personnelle très active et fait appel à la maîtrise du mental par la pratique de la méditation. Or, cette manière de pratiquer la psychologie nécessite d’adhérer aux philosophies orientales ou au moins, d’y être déjà un tant soit peu initié. Elle diffère dans son approche de l’inconscient de ce qui est pratiqué en Occident. Un expatrié qui cherche une réponse à des problèmes psychiques liés à l’acculturation et l’éloignement a besoin de retrouver les repères de son pays d’origine et de s’exprimer dans sa langue. Malgré la distance et le décalage horaire, c’est internet qui lui permet aujourd’hui de le faire, en consultant un psychologue français pour expatrié depuis le Japon. Ceci afin de bénéficier d’une clinique plus proche de sa culture, et d’un accompagnement accessible au niveau de la langue, du praticien et de son courant culturel.

Les difficultés d’intégration

Les Français de l’étranger installés au Japon sont nombreux, principalement dans les grandes villes comme Tokyo, Kobe ou Kyoto, mais l’adaptation reste l’une des plus difficiles. Les Français expatriés doivent s’attendre à affronter une culture de travail déroutante. Quant aux femmes expatriées, leur sentiment de solitude et d’isolement est souvent renforcé par le mutisme de la société d’accueil.

Le monde du travail

La vie professionnelle est primordiale pour les individus au Japon. Elle exige un dévouement complet et un sacrifice constant envers leur entreprise. Ainsi, les japonais travaillent en moyenne 50 heures par semaine, cultivent le présentéisme sur leur lieu de travail, et ne prennent que de très rares congés. Les journées sont suivies par des réunions entre collègues auxquelles il est difficile de se dérober. S’y soustraire équivaut, en effet, à manquer de loyauté envers la collectivité. L’épuisement professionnel et le burn out guettent souvent l’individu au Japon, et à plus forte raison l’expatrié. Un motif de consultation courant qui pousse souvent à trouver un psychologue français pour expatrié au Japon.

L’inconfort des épouses    

Ce mode de vie axé sur l’obéissance à la société et le culte du travail accentue l’absence des époux expatriés auprès de leur conjointe le soir. La femme qui s’est expatriée pour suivre son conjoint se trouve donc dans un isolement accru au Japon. De plus, la société nippone, très axée sur la famille, estime encore que la place de la femme est au foyer. Difficile donc, pour les épouses expatriées, de trouver du travail, à plus forte raison lorsqu’elles ne parlent pas japonais. Les femmes ont aussi du mal à se faire de nouveaux amis, car là encore, la barrière de la langue et des mentalités est importante. Le sentiment d’étrangeté vis-à-vis des occidentaux entretient longtemps une impression de rejet. Elle peut être difficile à vivre, notamment lorsque ce sont sur les enfants, à l’école, que ce regard pèse. Toutes ces raisons expliquent le choc culturel parfois violent pour les femmes au Pays du Soleil-Levant, et qui nécessite pour elles, bien souvent, l’écoute d’un psychologue français pour expatrié au Japon.

Pourquoi un psychologue français pour expatrié au Japon ?

Pour trouver le suivi psychologique dont ils ont besoin pour soutenir leurs efforts d’adaptation, les Français peuvent bénéficier d’une assurance santé et trouver des praticiens. Il leur faut ménager leurs ressources, dans un contexte où le déracinement très fort est susceptible de générer parfois un rapatriement.  Malheureusement, le soutien psychologique proposé répond rarement à leurs attentes. La pratique de la psychologie au Japon est aussi définie par la culture et la philosophie ancestrale. On y pratique beaucoup « la thérapie de Morita », qui se base sur la prise de conscience des états internes. Cette approche fait appel à l’acceptation des choses, à la réceptivité et à l’adaptation aux circonstances extérieures. Elle implique une prise en charge personnelle très active et fait appel à la maîtrise du mental par la pratique de la méditation.

Le japon est une terre où il fait bon s’expatrier pour donner un coup de fouet à sa carrière. Culturellement en revanche, la société n’est pas des plus ouvertes aux étrangers, ce qui favorise les chocs culturels plutôt rudes. Dans ce contexte, consulter un psychologue français pour expatrié au Japon aide à relever le challenge.    S’expatrier au Japon : l’impossible défi ?   L’économie japonaise est florissante et cherche à attirer les expats français. De nombreux candidats à la mobilité internationale ont donc tendance à favoriser cette destination, notamment lorsqu’une proposition émane d’une grande multinationale, nombreuses sur le sol nippon. L’expatriation vers le Japon est donc tentante, mais à quel prix ?	 La société japonaise se caractérise par un fort décalage culturel avec l’Occident. Une fois le stade de la  « Lune de miel » avec le pays d’accueil passée, le choc culturel peut être brutal et contraindre à trouver rapidement un soutien continu, comme celui d’un psychologue français pour expatrié au Japon.   Globalement, les valeurs, les codes et les symboles des cultures françaises et nippones différent trop pour que les échanges soient faciles. Il en résulte beaucoup d’incompréhension et de frustration au départ pour un expat français. Selon les individus, admettre que l’on sera toujours l’étranger dans un pays qui refuse toujours d’assimiler complètement ce qui vient d’ailleurs, peut prendre un tour problématique. La société japonaise demande aussi un effort accru dans chaque geste de tous les jours, car ses bases semblent très exotiques aux français expatriés : hiérarchie omniprésente dans tous les échanges, prédominance du collectif sur l’individu, modestie et censure de l’expression personnelle, politesse extrême, ponctualité… Beaucoup de différences qui peuvent générer un véritable mal-être et nécessiter de consulter un psychologue français pour expatrié au Japon avant de réussir à s’adapter.  Les difficultés d’intégration  Les Français de l’étranger installés au Japon sont nombreux, principalement dans les grandes villes comme Tokyo, Kobe ou Kyoto, mais l’adaptation reste l’une des plus difficiles. Les Français expatriés doivent s’attendre à affronter une culture de travail déroutante. Quant aux femmes expatriées, leur sentiment de solitude et d’isolement est souvent renforcé par le mutisme de la société d’accueil. Le monde du travail La vie professionnelle est primordiale pour les individus au Japon. Elle exige un dévouement complet et un sacrifice constant envers leur entreprise. Ainsi, les japonais travaillent en moyenne 50 heures par semaine, cultivent le présentéisme sur leur lieu de travail, et ne prennent que de très rares congés. Les journées sont suivies par des réunions entre collègues auxquelles il est difficile de se dérober. S’y soustraire équivaut, en effet, à manquer de loyauté envers la collectivité. L’épuisement professionnel et le burn out guettent souvent l’individu au Japon, et à plus forte raison l’expatrié. Un motif de consultation courant qui pousse souvent à trouver un psychologue français pour expatrié au Japon.   L’inconfort des épouses	 Ce mode de vie axé sur l’obéissance à la société et le culte du travail accentue l’absence des époux expatriés auprès de leur conjointe le soir. La femme qui s’est expatriée pour suivre son conjoint se trouve donc dans un isolement accru au Japon. De plus, la société nippone, très axée sur la famille, estime encore que la place de la femme est au foyer. Difficile donc, pour les épouses expatriées, de trouver du travail, à plus forte raison lorsqu’elles ne parlent pas japonais. Les femmes ont aussi du mal à se faire de nouveaux amis, car là encore, la barrière de la langue et des mentalités est importante. Le sentiment d’étrangeté vis-à-vis des occidentaux entretient longtemps une impression de rejet. Elle peut être difficile à vivre, notamment lorsque ce sont sur les enfants, à l’école, que ce regard pèse. Toutes ces raisons expliquent le choc culturel parfois violent pour les femmes au Pays du Soleil-Levant, et qui nécessite pour elles, bien souvent, l’écoute d’un psychologue français pour expatrié au Japon.   Pourquoi un psychologue français pour expatrié au Japon ?   Pour trouver le suivi psychologique dont ils ont besoin pour soutenir leurs efforts d’adaptation, les Français peuvent bénéficier d’une assurance santé et trouver des praticiens. Il leur faut ménager leurs ressources, dans un contexte où le déracinement très fort est susceptible de générer parfois un rapatriement.  Malheureusement, le soutien psychologique proposé répond rarement à leurs attentes.    La pratique de la psychologie au Japon est aussi définie par la culture et la philosophie ancestrale. On y pratique beaucoup « la thérapie de Morita », qui se base sur la prise de conscience des états internes. Cette approche fait appel à l’acceptation des choses, à la réceptivité et à l’adaptation aux circonstances extérieures. Elle implique une prise en charge personnelle très active et fait appel à la maîtrise du mental par la pratique de la méditation. Or, cette manière de pratiquer la psychologie nécessite d’adhérer aux philosophies orientales ou au moins, d’y être déjà un tant soit peu initié. Elle diffère dans son approche de l’inconscient de ce qui est pratiqué en Occident. Un expatrié qui cherche une réponse à des problèmes psychiques liés à l’acculturation et l’éloignement a besoin de retrouver les repères de son pays d’origine et de s’exprimer dans sa langue. Malgré la distance et le décalage horaire, c’est internet qui lui permet aujourd’hui de le faire, en consultant un psychologue français pour expatrié depuis le Japon. Ceci afin de bénéficier d’une clinique plus proche de sa culture, et d’un accompagnement accessible au niveau de la langue, du praticien et de son courant culturel.

Or, cette manière de pratiquer la psychologie nécessite d’adhérer aux philosophies orientales ou au moins, d’y être déjà un tant soit peu initié. Elle diffère dans son approche de l’inconscient de ce qui est pratiqué en Occident. Un expatrié qui cherche une réponse à des problèmes psychiques liés à l’acculturation et à l’éloignement a besoin de retrouver les repères de son pays d’origine et de s’exprimer dans sa langue. Malgré la distance et le décalage horaire, c’est internet qui lui permet aujourd’hui de le faire, en consultant un psychologue français pour expatrié depuis le Japon. Ceci afin de bénéficier d’une clinique plus proche de sa culture, et d’un accompagnement accessible au niveau de la langue, du praticien et de son courant culturel. Par ailleurs, les expatriés français au Japon ont la liberté aujourd’hui de profiter d’internet pour joindre des psychothérapeutes où et quand ils le veulent.  Rappelons que les consultations en ligne via Skype et télé consultations permettent de s’affranchir des contraintes d’horaires et de distance. Elles permettent de faire un travail sur soi en profondeur et en continu. Les thérapeutes savent désormais utiliser les outils numériques pour maximiser l’attention qu’ils apportent à leurs patients lors d’une consultation. Pascal Couderc est psychologue clinicien, et pratique la psychanalyse. Il intervient beaucoup auprès des expatriés désireux de nouer une relation thérapeutique bienveillante lors d’une phase d’adaptation difficile, notamment ceux établis au Japon. Il est membre de l’Adeli, dont il respecte le code de déontologie relatif à l’intégrité psychique des personnes.

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